Pour beaucoup d’enfants, les toilettes de l’école sont signe d’inconfort et généralement considérées comme sales, mal chauffées, mal odorantes ou encore vétustes. Pour d’autres, elles représentent un lieu de chahut voire de harcèlement. Alors pour ne pas avoir à s’y rendre les enfants se retiennent et élaborent des stratégies pouvant engendrer des conséquences graves pour leur santé physique et psychologique avec des répercussions sur leur apprentissage et leurs résultats scolaires.
Engagés depuis plusieurs années pour un meilleur usage des toilettes à l'école et pour briser les tabous de l'hygiène, Essity et Harpic (Groupe Reckitt) s'associent dans le cadre du programme “A nous les toilettes”.
Pour y parvenir, ce programme s’appuie sur l’expertise de partenaires clés : l’association agréée par l’Education Nationale, les Petits Citoyens, ou encore la géographe et sociologue Edith Maruejouls, fondatrice du bureau d’études l’ARObE et auteur de travaux remarqués sur l’égalité filles-garçons, notamment dans les cours de récréation.